Le reportage d’Envoyé spécial sur France 2 montre des images épouvantables de cochons coincés debout dans des enclos étroits qui ne leur permettent même pas de se retourner. Ou entassés à plusieurs dans des prisons trop petites qui les obligent à monter l’un sur l’autre. Ils ne voient jamais l’extérieur, ne respirent jamais qu’un air confiné, puant. On laisse agoniser les animaux malades sans les soigner ni tenter de supprimer leurs souffrances. Les cadavres sont laissés pourrir sur place, au milieu de larves et d’asticots.On voit se promener des rats. C’est insoutenable. Dans les magasins, le spectacle est tout autre. On nous montre de magnifiques jambons de Parme soigneusement affinés pour les vendre très chers. La charte de 83 points de producteurs de jambon de Parme ne contient qu’une ligne sur le bien-être animal... qui n’est pas respectée.

On ne peut faire qu’une chose pour STOPPER cela : boycotter le jambon de Parme et envoyer un message aux acheteurs des grandes surfaces pour leur envoyer un lien vers le reportage et exiger qu’ils les retirent de leurs rayons et fassent pression sur les producteurs.

Envoyez un message aux grandes surfaces en cliquant ici.

Envoyez un message aux consulats et ambassades italiens en cliquant
ici
Relayez sur les réseaux sociaux leurs réponses ou leur non réponses.

En accompagnement d’une autre vidéo tournée par Gaia, on trouve également ce commentaire :
"Détenues dans des stalles illégales (interdites dans l’UE depuis 2013), les truies n’ont même pas la possibilité de se retourner. Dans les hangars, la ventilation insuffisante ne permet pas aux animaux de respirer un air frais. D’une manière générale, les conditions d’hygiène sont exécrables. Des carcasses de cochons gisent près de là où des truies doivent mettre bas. À l’extérieur du hangar, des carcasses s’amoncellent. Les rats et les souris ont élu domicile dans l’enceinte de l’élevage. Détenus dans des enclos surpeuplés, les cochons urinent sur leurs congénères. La vidéo montre deux fœtus avortés, au sol, à côté de leur mère morte."